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HOMMAGE
à Louis Jourde
décédé le 26
avril 2011
Vous êtes le
visiteur n°:
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Puy de Dôme
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Mars 2010

Nous
étions 15 000 le 23 mars,
avec une
forte représentation du privé et évidement, un cortège Cgt très majoritaire
(environ 9500). Pour le public, le niveau de mobilisation était également bon
avec les différentes fonctions publiques ainsi que les services. Il est
intéressant de constater que sans égaler les mobilisations de 2009, ce qui
n'était pas un objectif, de très nombreux syndicats étaient représentés. C'était
donc une mobilisation très syndicale et très militante. La façon dont s'est
déroulée notre journée de déploiement du 18 mars le présageait.
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Mai
2008 numéro 0
EDUC’ARVERNE
Le journal des militants de la CGT educ’action 63
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Tous
ensemble contre la casse sociale ! |
Un an après
l ‘élection présidentielle qui a porté au pouvoir le candidat qui
voulait en finir avec l’héritage de mai 68, le mécontentement gronde et
la riposte s’organise.
La situation au plan
national comme au plan international d’une grande partie de la
population est dramatique. Les produits de première nécessité flambent
alors que les salaires stagnent. La vie est difficile pour une grande
partie d’entre nous, les profits des grandes entreprises atteignent par
contre des records.
L’année en cours a vu une accélération sans précédent
des contre-réformes. Les garanties collectives sont remises en cause :
modernisation du marché du travail qui permet le licenciement « à
l’amiable » dans le privé, enfermement d’enfants dans les centres de
rétention administrative avant expulsion vers des pays lointains pour un
avenir dangereux voire mortel, mise en place de la franchise médicale
qui impose à tous les patients de payer chaque acte médical, suppression
des BEP pour la mise en place du bac pro en 3 ans, 11200 postes
supprimés l’année prochaine dans l’éducation, possibilité d’une mise en
disponibilité imposée des fonctionnaires au travers du projet de lois
sur la mobilité dans le cadre de la RGPP( Révision générale des
Politiques Publiques), appel à l’intérim dans le même projet de loi,
rapport Pochart, passage aux 41 annuités …
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Face à cette
avalanche, des manifestations massives de lycéens ont eu lieu un peu
partout. Le 15 mai doit être un temps fort de grève de toute la fonction
publique dans l’unité. |
Tous et toutes en grève
le 15 mai !!!
Rendez-vous 10 H
30 avenue de la République à Clermont Fd
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Suppressions de postes : Brugière bouge |
La situation au lycée
Ambroise Brugière, à Montferrand
Malgré une baisse démographique minime, cette année encore, 3 postes
sont supprimés au lycée Brugière, après 8 suppressions l’année dernière.
Pour compenser ces
suppressions de postes, le Rectorat alloue des Heures Supplémentaires
Années ( Le fameux « Travailler plus »…). Or dans notre
établissement, ces heures sont difficiles à absorber : de nombreux
collègues sont à temps partiel, par choix (convenance personnelle, face
à la charge de travail en lycée) ou contraint, pour éviter les
compléments de service ( et c’est surtout le cas pour les options qui
font la spécificité du lycée Brugière : portugais, arabe, italien,
arts…)
Et ce sont justement
les options et les langues qui pâtissent encore des réductions
drastiques d’heures :
- suppression pour le
BTS Commerce International (le bien nommé!) de l’italien et de
l’allemand (la lutte engagée par les collègues, avec l’appui du Conseil
Régional, a partiellement porté : le Rectorat a magnanimement accordé le
droit aux élèves ayant déjà entamé leur cursus de conserver ces
options…). Résultat : il faut être hispaniste pour pouvoir s’engager
dans cette filière publique… ou partir hors académie !
- suppression de
l’option Cinéma –audiovisuel, par souci de rentabilité (les 8 élèves qui
pouvaient bénéficier de cet enseignement, véritable ouverture
culturelle, n’ont qu’une solution pour finir leur cursus : partir ) : un
comble dans la ville du festival du court-métrage !
- regroupement des
niveaux en cours de langues vivantes et anciennes, situation qui perdure
depuis des années, toujours par souci d’économie
Sans parler de la
filière littéraire, avec une seule classe de première L à 37 élèves (pratique
pour les langues et l’oral !)
Action !
C’est la raison pour
laquelle, après avoir boycotté le Conseil d’Administration du 8 avril,
les parents d’élèves, les élèves et les enseignants se sont retrouvés,
lundi 28 avril, pour une occupation festive des locaux, manifestant
ainsi symboliquement leur mécontentement. Une cinquantaine de
participants a ainsi déployé drapeaux et banderoles devant le lycée et
la presse locale, malgré le refus du proviseur d’autoriser des prises de
vue dans l’établissement, a largement couvert l’événement : article dans
La Montagne, reportages sur Clermont 1ere et France 3 (Clermont
Soir). L’intersyndicale (FSU-CGT) des enseignants espère à nouveau
mobiliser pour des actions à venir et peut-être faire tache d’huile
auprès des lycées de l’agglomération clermontoise, eux aussi peu
épargnés par la recherche d’économie du gouvernement au détriment d’un
service d’enseignement de qualité.
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Feu
rouge sur le livre
vert…. |
Livre vert :
qu'es aquò?
Marcel Pochard,
conseiller d’état, a remis le 4 février dernier au ministre X. Darcos,
un rapport rédigé par une commission composée de 12 membres qu’il
présidait.
Le livre « vert » de
271 pages sur l’évolution du métier d’enseignant est articulé sur
plusieurs chapitres : une première partie est consacrée à un état des
lieux, une deuxième partie plus inquiétante se charge des propositions.
Or, c’est une drôle
d’évolution de notre métier que prépare le ministre X.DARCOS : aucune
revalorisation n’est prévue ! L’ensemble des propositions se base sur
l’individualisation de la carrière et de la rémunération, remettant
ainsi en cause le statut général de la Fonction Publique.
Extrait :
« …barèmes et grilles
pèsent de tout leur poids sur les actes individuels de gestion au point
que l’on peut en retirer l’impression d’une gestion mécanique et
impersonnelle. Il y manque, une dimension qualitative et personnalisée :
meilleure adéquation entre les besoins du service, zone par zone et
établissement ou école par établissement ou école, et les ressources
humaines disponibles ; suivi plus personnalisé et régulier des
enseignants, de leur carrière, de leurs besoins, notamment en formation
continue et en diversification d’expériences ; meilleure reconnaissance
du mérite…»
Quelle évolution ?
Elargissement des
missions, allongement du temps de présence dans l’établissement,
dégradation sans équivoque des conditions d’enseignement … notre métier
serait de fait profondément modifié et notre charge de travail
substantiellement alourdie. La raison : non pas l’intérêt des élèves,
mais une recherche de rentabilité et une casse du service public, comme
en témoigne la comparaison systématique avec les pays européens.
Extraits :
« Sur la
spécialisation et sur l’individualisme excessif de l’enseignement, ainsi
que sur l’insuffisance du travail d’équipe : le rapport Joxe parlait de
Taylorisme, et le rapport Ribot relevait : les professeurs sont trop
spécialisés. Ils viennent, surtout dans les hautes classes, comme dans
un cours de facultés, donner à leurs élèves un certain nombre d’heures
par semaine, et leur cours fait, ils s’en vont…Mais le professeur ne
doit pas se contenter d’être pour ses élèves un livre vivant… » ;
« …Au collège, 21
pays européens sur 30 demandent à leurs enseignants un volume horaire
hebdomadaire d’enseignement supérieur aux 16,5 h de la France. Le
Royaume-Uni et la Suède demandent là aussi un temps de présence à
l’école (TPE) respectivement de 32,5h et de 35h… »
« …Au lycée
général, 25 pays européens sur 30 ont un nombre d’heures hebdomadaires
obligatoires d’enseignement supérieur aux 13,8 h effectives en France.
Dans 8 pays s’y ajoute un temps de présence à l’école |
(TPE) compris entre
19h (Italie) et 35h (Portugal). La Finlande fixe une charge
d’enseignement identique à celle de la France, mais s’y ajoute un temps
de présence de 27h. La France est ainsi l’un des pays de l’Europe à
demander le moins d’heures d’enseignement hebdomadaire et annuel aux
enseignants du second degré… »
Le rapport ainsi
rédigé n’est qu’une suite de propositions n’ayant qu’un seul but, la
remise en cause radicale du statut des enseignants.
Parmi le nombre de
propositions toutes aussi alarmantes les unes que les autres se trouve
le pilier de l’édifice de la réforme en cours : l’annualisation du temps
de service pour les enseignants.
C’est une voie qui
est bien entendue proposée pour récupérer des heures … c’est à dire
supprimer encore des postes !
Supprimer
l’encombrant adjectif « Nationale »
Il y est aussi évoqué
une modification du mode de recrutement des enseignants, la création
d’un master et la possibilité d’envisager
des recrutements
locaux.
Extraits :
« …L’hypothèse d’une
déconcentration du recrutement du second degré a été exprimée au cours
des auditions. Il s’agirait d’organiser les concours au niveau
académique, comme pour le premier degré. La régionalisation du concours
aurait l’avantage de poser un contrat clair avec des candidats qui
sauraient où ils exerceraient. Elle permettrait, dans le cadre de la
LOLF, à l’académie de maîtriser sa dépense en personnels… »
« …Cette proposition
d’aménagement des concours fait le pari que les cursus universitaires
évolueraient progressivement vers plus de professionnalisation afin de
répondre aux attentes nouvelles de l’employeur. En réformant le
recrutement pour y faire place à la vérification d’aptitudes et de
compétences professionnelles, didactiques, pédagogiques et éducatives,
seraient encouragée, en amont, la création de licences et de Masters
professionnels qui prépareraient aux métiers de l’enseignement en
développant ces aptitudes et en formant ces compétences… »
« …Un recrutement sur
la base de candidatures individuelles. Dans cette hypothèse, les
titulaires du Master chercheraient un emploi d’enseignant. Ainsi que le
pratiquent certains de nos voisins européens, les recrutements
pourraient se faire sur la base d’une recherche personnelle d’emploi
auprès des autorités académiques (rectorats, inspections d’académie),
des établissements, voire des circonscriptions du premier degré, qui
recruteraient alors vraisemblablement sous forme d’entretiens, après
annonce des postes et des profils à pourvoir… »
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Déclaration de l’URSEN-CGT
à la dernière CAPA
Le 30 avril une CAPA
avait lieu pour l’attribution des hors classe et les révisions des notes
administratives. Voici les déclarations faites par les élu(e)s CGT. |
MOTION proposée par
l’URSEN
Lors du groupe de
travail sur la nouvelle grille de notation administrative, la DRH avait
certifié qu’il n’y aurait plus de dépassement de grille dans cette
académie, et que les « mauvaises habitudes prises par le passé »
allaient être définitivement abandonnées.
Pourtant, notre
Recteur ne tient pas compte de ces bonnes résolutions qui ne sont que
l’application d’une décision du tribunal administratif.
Sur 69 notes
modifiées, 23 enseignants déjà « hors grille » après la péréquation ont
vu leur note augmentée par Monsieur le Recteur et 16 enseignants, dont
la note de référence était dans la grille, ont vu leur note dépasser le
maximum de cette nouvelle grille.
Par ailleurs,
certains collègues notés par le chef d’établissement dans la fourchette
de la grille nationale voient leur note baissée par le Recteur. Comment
cela se justifie-t-il ?
Nous sommes en
désaccord avec ces faits, et demandons au Recteur d’annuler les
modifications de toutes les notes dépassant la grille établie et
d’annuler la baisse des notes qui étaient pourtant proposées dans la
grille nationale.
Ces agissements
justifient encore une fois notre opposition à la notation au mérite.
.
|
DECLARATION à la
CAPA HC du 30 avril
2008
Nous renouvelons
aujourd’hui notre opposition au principe de la notation au mérite, qui
ne permet pas d’assurer l’accès à la grille de rémunération hors classe
à l’ensemble des personnels.
La très grande
majorité des professeurs travaille de façon dévouée et consciencieuse.
Le système mis en place ne se justifie donc pas !
Nous remarquons trop
souvent que « faire son travail normalement » ne suffit pas pour
prétendre à une fin de carrière sur une échelle de rémunération hors
classe, ce qui n’est pas normal.
Cette année par
exemple, nous constatons qu’un professeur voit sa possibilité d’intégrer
la grille de rémunération « hors classe » compromise, car il n’a pas été
inspecté pendant plus de vingt ans ; l’administration préconise
cependant une inspection tous les trois ans ! Ce n’est quand même pas
aux personnels d’en faire la demande !
En outre, il serait
souhaitable que lors de l’entretien annuel pour la notation
administrative, tous les proviseurs informent les professeurs de l’avis
qu’ils comptent mettre pour la hors classe. Ceci éviterait bien des
déconvenues.
Nous regrettons que
le principe actuel favorise :
Ø
La
division des personnels avec des conséquences sur le travail d’équipe,
sa cohérence et donc son efficacité.
Ø
Les
disparités de traitements : la rémunération à la performance est
antinomique du service public
Ø
Le
manque d’objectivité des évaluations
L’URSEN CGT insiste
cette année encore, sur la nécessité d’ouvrir de véritables négociations
ayant pour but d’aboutir à l’intégration de la hors classe dans la
grille indiciaire de la Fonction Publique afin que tous les personnels
puissent accéder à l’indice maximum en fin de carrière |
Les révisions de notes :
Suite à nos remarques concernant les dépassements de grille, on peut
dire que L’administration a bien insisté sur le fait que le TA
n’autorisait pas la notation sur grille académique mais en tous cas
n’interdisait pas une notation hors grille !!!! Comme si la grille
académique n’était pas en soi une notation hors grille nationale ! Tout
cela valide encore une fois notre opposition au système de notation.
La Hors classe :
Nous avons encore une fois dénoncé un système de promotion qui lèse les
collègues n’ayant pas eu d’inspection régulièrement tout au long de leur
carrière. Nous avons dénoncé aussi le manque de clarté de l’appréciation
et des critères d’évaluation des proviseurs et avons demandé que
celui-ci justifie systématiquement son évaluation auprès de
l’enseignant. En outre l’administration n’a pas pu fournir le nombre de
promu pour cette année mais assure que le ratio (Nbre de promouvable/Nbre
de promus) sera au moins le même que l’an dernier.
Une liste de
cinquante promouvables a d’ors et déjà été validée par la CAPA.
Les « heureux élus » seront informés lorsque le contingent sera connu.
Aujourd’hui, la justice et l’équité entre les personnels est encore loin
d’être atteinte. |
Elu(e)s CAPA PLP :
Benedicte Bessette,
Daniel Cheze, Marie Gaglione, Michel Grangier, Pascal Martinez, Eric
Penent, |
Loi de mobilité =
remise en cause des statuts ! |
Faites une
expérience : déclarez en salle des profs : « et vous savez que demain on
pourra être licencié ? ». Après un petit moment de silence et
d’interrogations bons nombres déclareront : « c’est pas possible !
t’exagères ! … ». Et pourtant, le projet de loi sur la mobilité remet
bien en cause la garantie de l’emploi pour tous les fonctionnaires.
Quelles sont donc les grandes lignes de ce texte ?
Ce projet de loi sur
la mobilité dans la fonction publique a été adopté par le Conseil
supérieur de la fonction publique d'Etat (CSFPE), mardi 18 mars, malgré
l'opposition de la majorité des syndicats qui sont représentés. Seuls
les représentants de l'administration ont approuvé le projet de loi.
CGT, FSU, FO, UNSA, Solidaires et CFTC ont voté contre, CFDT et CGC se
sont abstenus. Ce projet de loi a été adopté en première lecture au
sénat le 30 avril 2008.
L’article 3 met en
place une période de réorientation professionnelle ou le fonctionnaire
dont le poste a été supprimé se voit proposé une période de
réorientation professionnelle.
« Art. 44-3. – La
réorientation professionnelle prend fin lorsque le fonctionnaire accède
à un nouvel emploi.
« Elle peut
également prendre fin, à l’initiative de l’administration, lorsque le
fonctionnaire a refusé successivement trois emplois publics
correspondant à son grade et au projet personnalisé d’évolution
professionnelle. Dans ce cas, il peut être placé en disponibilité
d’office ou, le cas échéant, admis à la retraite. »
Des emplois dans les
3 fonctions publiques civile ou militaire pourront donc être proposés.
Au bout de trois refus pour trois emplois du même grade : DEHORS !!
Il y aurait beaucoup
à dire, c’est bien un licenciement à peine déguisé qui est mis en place.
Les personnels renvoyés n’auront même pas droit aux indemnités chômages
puisqu’ils seront en disponibilité. Notons qu’aucune condition sur la
localisation géographique n’est spécifiée dans le texte…Loin de
satisfaire au reclassement désiré par certain agent, ce texte impose la
mobilité. Son but est de répondre à la diminution du nombre de postes de
fonctionnaires dans le cadre de la RGPP (Révision Générale des
Politiques Publique) : des centaines de milliers de postes doivent être
supprimés dans les prochaines années.
L’article 10 de ce
projet prévoit la possibilité pour l’administration de faire appel à
l’intérim dans les conditions suivantes :
« 1°
Remplacement momentané d’un agent en raison d’un congé de maladie, d’un
congé de maternité ou d’un congé parental, d’un passage provisoire en
temps partiel, de sa participation à des activités dans le cadre d’une
réserve opérationnelle, sanitaire, civile ou autre, ou de
l’accomplissement du service civil ou national, du rappel ou du maintien sous les
drapeaux ;
« 2° Vacance
temporaire d’emploi qui ne peut être immédiatement pourvu dans les
conditions prévues par la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 portant
dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l’État, la
loi n° 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires
relatives à la fonction publique territoriale et la loi n° 86-33 du 9
janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la fonction
publique hospitalière ;
« 3° Accroissement
temporaire d’activité ;
« 4° Besoin
occasionnel ou saisonnier.
« Le contrat conclu
sur le fondement du 2° ne peut excéder 12 mois, tous renouvellements
compris. ».
Cette mesure est
présentée cyniquement « Applicable aux trois fonctions publiques, cette mesure doit limiter la
reconstitution d’un volant d’emplois précaires dans les
administrations. » (exposé des motifs devant le sénat).
En rompant la relation contractuelle avec l’employeur public, elle vise
à exonérer l’état et les collectivités territoriales de leurs
responsabilités envers les agents recrutés sous contrat à durée
déterminée. De surcroît un tel dispositif constituera une véritable
manne financière pour les entreprises d’intérim.
Le statut des
fonctionnaires est remis en cause. Notre combat n’est pas un combat
corporatiste. En remettant en cause notre emploi, notre indépendance et
notre équité sont aussi mises en cause. Le fait de pouvoir faire appel
aux services privés d’intérim est une forme de privatisation. Ce texte
est un grand bond en avant vers la marchandisation de la santé et de
l’éducation.
Le SDEN CGT invite
tout les personnels à lire le texte de loi pour se faire son opinion et
comprendre dans le détail tous les dangers qu’il comporte.
Le 15 mai toute
la fonction publique sera dans la rue. Nous invitons tous les
personnels à se réunir à faire du 15 mai une réussite et à prévoir les
suites. |
Syndicat Départemental de l'Education
Nationale
 |
Ce journal, réalisé par des militants bénévoles grâce aux cotisations
des syndiqué(e)s, constitue une réponse à son échelle. En effet, se
syndiquer et faire vivre la vie syndicale sont indispensables pour
inverser le rapport de force. N’hésitez pas à nous faire parvenir vos
réactions sur le mail :
sdencgt63@laposte.net
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Composition du
bureau départemental
Secrétaire : Pascal Martinez
sdencgt63@laposte.net;
Secrétaire adjoint : Frédéric
Campguilhem
Frederic.campguilhem@laposte.net ;Trésorière :
Claudine Ginisty
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